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Auteur Colette LECLERCQ |
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Accompagner les parentalités fragilisées / Colette LECLERCQ ; Romain LECOMTE ; Saül KARZ in L'observatoire, n° 97 ( octobre-décembre 2018)
[article]
Titre : Accompagner les parentalités fragilisées Type de document : revue Auteurs : Colette LECLERCQ, Auteur ; Romain LECOMTE, Auteur ; Saül KARZ, Auteur Date de publication : 2018 Note générale : n° 97, octobre-décembre 2018 Mots-clés : ACCOMPAGNEMENT, ADOLESCENT, CENTRE MATERNEL, ENFANCE EN DANGER, FAMILLE, FAMILLE D'ACCUEIL, FAMILLE MONOPARENTALE, GROSSESSE, HANDICAP MENTAL, PARENTALITE, PARENTALITE PRECOCE, PARENTS, PLACEMENT, POLITIQUE SOCIALE, SOCIOLOGIE, SOUFFRANCE PSYCHIQUE, TOXICOMANIE
AESH, VIOLENCE CONJUGALE, VULNERABILITE
ABUS SEXUELRésumé : Être parent n'est pas facile, a fortiori dans un contexte marqué par les mutations familiales (séparations, familles monoparentales ou recomposées, etc.), mais aussi l'émergence de nouvelles normes parentales (le dialogue plutôt que la posture autoritaire, ...) et l'attention accrue portée au bien-être de l'enfant, amenant les parents à davantage douter, se questionner ou se voir remis en cause dans leurs capacités à être de "bons parents".Certaines parentalités, cependant, sont plus fragilisées que d'autres, au point d'hypothéquer le développement physique, psychique et affectif de l'enfant et d'exiger l'intervention de professionnels. Les difficultés qui en sont à l'origine sont diverses, souvent cumulées et entremêlées : pauvreté, isolement social, troubles psychiques, toxicomanie ou autres assuétudes, parentalité précoce, violences conjugales, séparation conflictuelle, handicap, ...Ces parents affaiblis, par-delà la diversité de leurs profils et de leurs problématiques, ont souvent en commun d'être psychologiquement abîmés, dans un état mental qui peut affecter leur disponibilité émotionnelle et affective vis-à-vis de l'enfant, leurs conduites de soin, ...Le travail des intervenants ne se résume dès lors pas à les responsabiliser et les conscientiser, à les soutenir dans la (re)acquisition de certaines attitudes ou compétences parentales, ou encore à accompagner le lien affaibli avec l'enfant. Soutenir leur parentalité, c'est aussi écouter, prendre en considération leurs souffrances, leurs blessures, prendre soin d'eux pour qu'ils puissent mieux prendre soin de leurs enfants. Plus généralement, dans une approche globale qui nécessite souvent une articulation avec d'autres services et secteurs, cela suppose de prendre en compte l'ensemble des difficultés sociales, matérielles, familiales ou autres qui les touchent.Mais, nous le verrons, le soutien à la parentalité n'est pas non plus l'apanage des professionnels. L'entraide, l'appui sur les pairs ou d'autres citoyens, à contre-pied de l'individualisme ambiant, joue parfois aussi un rôle précieux. [Présentation de l'éditeur] Permalink : https://irts-idf.bibli.fr/index.php?lvl=notice_display&id=116610
in L'observatoire > n° 97 ( octobre-décembre 2018)[article]L'accroche / Romain LECOMTE in L'observatoire, n° 93 ( octobre-décembre 2017)
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Titre : L'accroche Type de document : revue Auteurs : Romain LECOMTE, Auteur ; Colette LECLERCQ, Auteur Date de publication : 2018 Article en page : pp. 4-69 Note générale : n° 93, octobre-décembre 2017 Mots-clés : ACCES AUX DROITS, ADDICTION, NON-RECOURS
ACCES AUX SOINS, ACCOMPAGNEMENT SOCIAL, ALPHABETISATION, FEMME, INSERTION SOCIALE, MINEUR ISOLE ETRANGER, PAUVRETE, PRECARITE, SANTE MENTALE, SDFRésumé : Comment accrocher les personnes aux dispositifs d'aide qui leur sont destinés? Comment les amener à être preneuses, participantes, impliquées? Par quelles voies les emmener dans la dynamique de changement qui pourra améliorer leur situation, les sortir de leur isolement, leur redonner une dignité et une place dans la société?De nombreuses structures sont confrontées de manière récurrente à la difficulté de faire venir les personnes, de les faire participer, adhérer au processus - à moins qu'elles n'y soient contraintes - et elles déplorent également les abandons et les absences répétées. Cette problématique, au coeur du travail social, interpelle et invite à s'interroger. En premier lieu, sur ce qui fait obstacle du côté des publics-cibles. Les raisons semblent multiples et mêlées. Les personnes peuvent être dans le déni de leurs problèmes, être animées par la honte, avoir d'autres priorités, craindre un nouvel échec, subir des pressions de leur entourage ou même ignorer que ces aides et services existent et qu'elles y ont droit,...En second lieu, l'interrogation appelle à la remise en question des pratiques d'approche, d'accroche, d'ancrage... Ainsi, face à ces publics "en rupture", des services, des travailleurs sociaux ont développé d'autres manières de faire, d'autres méthodologies. Elles visent à aller-vers, à prendre en compte les besoins immédiats, à s'appuyer sur tous les ressorts mobilisables, sur toutes les compétences, à rassurer, à valoriser, à faire preuve de souplesse, de patience, de créativité... Mais surtout elles investissent dans le plus accrocheur et le plus fondamental, le lien!Au-delà, le décrochage questionne notre société qui est de plus en plus excluante et notre système d'aide qui crée des ruptures là où il pense mettre de la solidarité. Les personnes en besoin sont parfois dans la méfiance, voire la défiance à l'égard de ceux qui prétendent vouloir les aider ; et certaines, comme le démontre l'article de Philippe Warin qui clôture ce dossier, finissent par être dans la non-demande, par lassitude, par épuisement ; voire par choix, quand elles estiment que ce qui leur est proposé ne fait pas sens pour elles, semble injuste ou déséquilibré. [Présentation de l'éditeur] Note de contenu : pp. 4-69 Permalink : https://irts-idf.bibli.fr/index.php?lvl=notice_display&id=113287
in L'observatoire > n° 93 ( octobre-décembre 2017) . - pp. 4-69[article]Exemplaires(1)
Code-barres Cote Localisation Section Statut Disponibilité 6303 Rev Montrouge Périodiques archivés Consultation sur place Exclu du prêt Quand les pairs deviennent ressources / Colette LECLERCQ ; Romain LECOMTE in L'observatoire, n° 92 (juillet-septembre 2017)
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Titre : Quand les pairs deviennent ressources Type de document : revue Auteurs : Colette LECLERCQ, Auteur ; Romain LECOMTE, Auteur Date de publication : 2017 Article en page : pp. 5-65 Note générale : n° 92, juillet-septembre 2017 Langue : Français (fre) Mots-clés : AIDANT FAMILIAL, COMPETENCE PROFESSIONNELLE, EXPERIENCE, EXPERT, GROUPE D'APPARTENANCE, PAUVRETE, PROFESSIONS STATUTS ET CATEGORIES PROFESSIONNELLES, SANTE MENTALE Résumé : La sollicitation des savoirs issus de l'expérience, sur fond de promotion de la participation des "bénéficiaires", peut prendre des formes variées : groupes d'entraide, intégration de pair-aidants au sein de services d'aide et d'accompagnement, participation à des actions de sensibilisation, mobilisation au sein de collectifs de défense des droits,...Le rôle des pairs est particulièrement mobilisé et valorisé dans les secteurs de la santé mentale et de la lutte contre la pauvreté, où une professionnalisation des experts du vécu est déjà en cours. Mais cette tendance se dessine peu à peu aussi dans divers autres domaines : handicap, parentalité, jeunesse,...Les apports, la plus-value de ces pairs sont également diversifiés : susciter la confiance et "accrocher" des publics qui échappent d'ordinaire aux aides et services qui leur sont dédiés; faire le lien entre le monde des intervenants et celui des bénéficiaires; réveiller l'espoir et servir de modèle en personnifiant la possibilité de s'en sortir; dispenser un soutien et des conseils en s'appuyant sur son propre parcours; contribuer à la déstigmatisation et la déconstruction des préjugés qui pèsent sur certains publics;...Ce rôle d'expert du vécu n'est cependant pas dénué de risques, en particulier lorsqu'il s'agit d'accompagner directement des publics fragilisés. Se replonger, quotidiennement, dans des difficultés qu'on a personnellement connues, peut par exemple être éprouvant émotionnellement. De même, trouver la juste distance par rapport à des personnes avec qui on partage un vécu, une culture, des codes sociaux n'est pas non plus toujours aisé. La position qu'occupe ce "pair expert", à l'interface des intervenants et des usagers l'expose aussi aux ruptures de confiance, aux conflits de loyauté,...Enfin, au niveau des professionnels, si certains adhèrent et se sentent à l'aise à l'idée d'intégrer des experts du vécu dans leur équipe, d'autres doutent, font preuve de résistances car cela implique un changement de regard, voire de paradigme, mais aussi de renoncer à une part de pouvoir et d'accepter de redéfinir les frontières qui séparent traditionnellement le savoir "expert" et le savoir "profane". [Présentation de l'éditeur] Note de contenu : pp. 5-65 Permalink : https://irts-idf.bibli.fr/index.php?lvl=notice_display&id=112225
in L'observatoire > n° 92 (juillet-septembre 2017) . - pp. 5-65[article]Exemplaires(1)
Code-barres Cote Localisation Section Statut Disponibilité 6203 Rev Montrouge Périodiques archivés Consultation sur place Exclu du prêt Radicalisme violent. Comprendre, prévenir au delà de l'urgence / Colette LECLERCQ ; Romain LECOMTE in L'observatoire, n° 86 (janvier-mars 2016)
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Titre : Radicalisme violent. Comprendre, prévenir au delà de l'urgence Type de document : revue Auteurs : Colette LECLERCQ, Auteur ; Romain LECOMTE, Auteur Date de publication : 2016 Article en page : pp. 4-81 Note générale : n° 86, janvier-mars 2016 Mots-clés : ADOLESCENT, IDENTITE, ISLAM, JEUNE, MEDIA, PREVENTION, PRISON, RELIGION, RUPTURE, TERRORISME, TRAVAILLEUR SOCIAL
INTEGRISME, MEDIATION EDUCATIVERésumé : Pourquoi des jeunes de chez nous partent-ils faire la guerre en Syrie ou se font-ils exploser, ici, dans des attentats suicides? Face au phénomène du radicalisme violent coexistent la tentation de ne rien faire, voire du déni, ou celle de croire que le sécuritaire suffira. Pour notre part, nous avons choisi de tenter de mieux comprendre pour désamorcer, prévenir et, au-delà de l'urgence, construire une société plus inclusive. Ce numéro a été conçu pour aider les travailleurs sociaux, et tous ceux qui se sentent concernés, à déjouer les pièges des amalgames et à réinvestir dans des actions préventives.Longtemps, nous avons hésité à consacrer un numéro de l'Observatoire à la question du radicalisme violent. N'allions-nous pas encore alimenter la surmédiatisation d'un phénomène qui ne concerne, directement, qu'une petite minorité de jeunes? N'allions-nous pas risquer d'encore attirer les regards inquiets sur une population musulmane déjà fortement stigmatisée?Nous avons néanmoins fini par franchir le pas. Parce que, à diverses occasions, nous avons pu constater que les travailleurs sociaux se posent de nombreuses questions sur ce sujet complexe et sensible, tout en évitant de trop "s'en mêler" car craignant la maladresse, l'erreur d'interprétation, l'amalgame... Parce que, aussi, la prévention du radicalisme, à condition qu'elle soit clairement dissociée de la répression et du contrôle - ce qui n'est malheureusement pas toujours le cas -, implique d'en revenir à certains fondamentaux du travail social.Nous avons construit ce dossier en nous appuyant sur les rencontres co-organisées par le Centre Régional d'Intégration de Charleroi (CRIC) et le Centre Régional de Verviers pour l'Intégration (CRVI), en collaboration avec la Direction Générale Opérationnelle de l'Action sociale de la la Région wallonne (DGO5), "Prévention du radicalisme violent. Osons en parler", programmées en octobre et novembre 2015.Celles-ci nous ont servi de point de départ - vous retrouverez plusieurs orateurs conviés à ces journées dans nos contributeurs - mais nous avons aussi étoffé ce dossier, que nous avons conçu en deux parties, en nous appuyant notamment sur les avis pertinents de Thierry Tournoy, Directeur du CRIC et de Daniel Martin, Directeur du CRVI.La première partie pose cette terrible question : pourquoi des jeunes de chez nous se laissent-ils séduire par les discours de Daesh et partent-ils faire la guerre en Syrie ou se font-ils exploser dans des attentats suicides ici, en Europe? Pour y répondre, nous avons sollicité une palette de contributeurs qui, par leur expertise, décortiquent ce qui se joue derrière cet embrigadement criminel des jeunes dans le radicalisme violent.La seconde propose des pistes et des réflexions sur ce qu'il y a lieu de mener, d'inventer, de soutenir comme actions pour prévenir cette radicalisation. Si les travailleurs sociaux ne peuvent certes agir sur la variable géopolitique ni révolutionner notre contexte sociétal actuel, ils peuvent jouer un rôle important dans divers domaines : aider le jeune à se construire comme sujet et comme acteur de son devenir; reconstruire le lien décousu entre celui-ci et la société, sa famille, l'école...; consolider son esprit critique et sa résistance morale face aux tentatives d'endoctrinement; promouvoir l'interculturalité et le vivre-ensemble; lutter contre les inégalités et les discriminations;... Et, au-delà de l'urgence, participer par leurs convictions et leurs idéaux à une société davantage inclusive et porteuse de signes positifs, d'émancipation, d'espoir. [Présentation de l'éditeur] Note de contenu : pp. 4-81 Permalink : https://irts-idf.bibli.fr/index.php?lvl=notice_display&id=109055
in L'observatoire > n° 86 (janvier-mars 2016) . - pp. 4-81[article]Exemplaires(1)
Code-barres Cote Localisation Section Statut Disponibilité 5407 REV Montrouge Périodiques archivés Consultation sur place Exclu du prêt Comment Os'mose crée une complicité mutuelle avec un chien et son nouveau maître, une personnes porteuse d'un handicap in L'observatoire, n° 85 ( octobre-décembre 2015)
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Titre : Comment Os'mose crée une complicité mutuelle avec un chien et son nouveau maître, une personnes porteuse d'un handicap Type de document : revue Auteurs : Colette LECLERCQ, Auteur ; Marie Claire DUBOIS, Auteur Date de publication : 2015 Article en page : pp. 10-14 Note générale : n° 85, octobre-décembre 2015 Mots-clés : ANIMAL, MEDIATION, PERSONNE HANDICAPEE Résumé : Le chien est l'animal le plus utilisé par l'homme. Depuis la nuit des temps, il assure le rôle de fidèle compagnon et rend des services variés : chien de garde, chien de chasse, chien de berger... Il est plus récemment devenu chien policier, chien sauveteur. Dans le secteur social, ses aptitudes l'ont amené à endosser le rôle de chien guide et de chien d'aide ou d'assistance. [Présentation de l'éditeur] Note de contenu : pp. 10-14 Permalink : https://irts-idf.bibli.fr/index.php?lvl=notice_display&id=106878
in L'observatoire > n° 85 ( octobre-décembre 2015) . - pp. 10-14[article]